Objectif de la formation : A l’issue de ce workshop, les participants sauront
- Choisir la bonne version et configurer Salesforce avant un déploiement
- Avoir un large aperçu des fonctionnalités pour envisager l’avenir.
- Connaître les critères de choix pour choisir le bon administrateur interne et le niveau de compétence à viser (*)
Contenu de la formation :
Jour 1 :
💡 L’éco-système Salesforce & Architecture générale
💡 La modélisation et les objets Standards et personnalisés Salesforce (relations 1-N et N-N en informatique)
💡 La paramétrage de base : champs, règles de validation, Page-Layouts
Jour 2 :
💡 La qualité et la sécurité des données et des objets. Comment rendre un champ obligatoire : Règles de validation et autres méthodes. Comment limiter la visibilité des champs ou des enregistrements au-delà des règles standard de visibilité.
💡 Différences entre Rôles et Profils – Règles de partage et permissions
💡 Panorama de l’Automatisation dans Salesforce : outils Workflow et Time Based Workflows, process builder, Les Processus d’approbation, et désormais, l’outil phare : les FLOW BUILDER
(*) Quel niveau d’administrateur choisir selon les besoins de l’organisation.
Administrateur minimum : Réalise occasionnellement quelques procédures simples, répétitives. Exemple : une assistante commerciale débrouillarde, dont Salesforce n’est pas la mission première.
C’est en fait un « Power User » pour les opérations d’administrations quotidiennes : exemple, créer les identifiants d’un nouveau collaborateur ou lui faire une formation aux manipulations de base. Ou faire des rapports simples. Le travail en commun avec le consultant pendant le projet suffit souvent à atteindre ce niveau assez accessible. Il est recommandé de disposer de DEUX admin de ce niveau. Sinon vous devrez continuer à vous appuyer sur un partenaire externe, pendant ses absences, même pour les opérations courantes, ce qui n’est pas recommandé.
Administrateur intermédiaire : Min 1/4 ETP sur Salesforce (alternant possible pour le non urgent)
Savoir les bases du paramétrage : connaître les objets standards, créer un objet ou un champ personnalisé, ajouter un choix dans une liste de sélection, importer un fichier .xls, ajouter une règle de validation pour éviter les erreurs de saisie, faire un workflow simple, gérer des profils, compartimenter les données pour en assurer la sécurité par le modèle et les règles de partage, etc.
En cas de difficultés, cet administrateur intermédiaire nous appelle parfois sur la façon de procéder mais il fait lui-même en général, sauf les évolutions majeures. => c’est le niveau que nous recommandons pour une organisation type PME ou plus. Il correspond au stage de 3 jours « Quick Admin » pour une personne déjà à l’aise en informatique courante ou en bureautique, (sinon c’est peine perdue).
Et le cas échéant, il vaut mieux suivre ce stage AVANT de commencer le projet pour le mettre au mieux en application. Il est très utile pour faire des choix éclairés sur le choix de licences Salesforce (version, etc.)Administrateur Salesforce confirmé : ETP … X N
Pour les plus grosses organisations qui ont un besoin soutenu d’évolutions et veulent un administrateur autonome, certains de nos clients dédie un chef de projet au moins de 1/4 à ou ½ temps au projet. C’est souvent un technicien déjà formé à des outils type ERP. Il passe parfois la certification Salesforce et devient un quasi-consultant interne. Compter au total l’équivalent de un mois de formation à plein temps. Parfois des petites organisation atteignent ce niveau d’autonomie car ils disposent, par chance, d’un chef de projet un peu « geek », disponible et d’emblée passionné par l’outil. => ce niveau n’est pas nécessaire pour un projet PME.
Evaluation des formations SKAMA par les participants, en 10 points pour cette formation. Moyenne pour cette prestation spécifique : 3,5/4 points (52 stagiaire formés)
Pour accéder aux dates de stages, cliquez ici : dates de stages